[Lettre de Berthelé à De La Croix du 21 juillet 1883]

<p><strong>Transcription</strong></p><p>21 Juillet 1883</p><p>Mon Cher Père</p><p>Deux mots en courant. M.Clouzot pense qu&#039;il faudrait mieux attendre pour lancer la brochure que le Conseil général ait voté les 10 000 f. Il craint que l&#039;Université &amp; les amis de M. de Longuemar ne vous nuisent. Venez donc demain dimanche, discuter cela à Niort. Je serais bien aisé aussi de m&#039;entendre avec vous sur divers points. Mon travail avance. Si vous voulez le publier quand même, il sera</p><p>Saut de page</p><p>Avez-vous une vieille épreuve ou une feuille séparée ou un exemplaire gâté des pages 70 à 73 (*) de votre brochure Cela me ferait gagner du temps.</p><p>Id. un exemplaire seulement des pages 58.59</p><p>(*) en double si c&#039;est possible. Pour pouvoir être coupé</p><p>Saut de page</p><p>prêt pour lundi matin. Mais je tiendrais à vous en parler, a discuter bien des choses avec vous. Je suis en train de recopier ce que j&#039;ai déjà fait. J&#039;en suis, à ma 27e page de copie, &amp; je suis encore assez loin de la fin. Je pense que vous serez content. Je crois avoir trouvé de bons arguments pour vous défendre. </p><p>Voyez, s&#039;il vous est possible de venir demain soit par le train du matin soit par celui de midi.</p><p>Merci de votre lettre que je viens de recevoir.</p><p>Sentiments respectueusement affectueux</p><p>J.B.</p>