[Lettre de Berthelé à De La Croix du 08 janvier 1890]

<p><strong>Transcription</strong></p><p>Niort, le 8 janvier 1890 Mon cher Père J&#039;ai bien regretté à mon dernier passage à Poitiers de n&#039;avoir pas eu le plaisir de vs rencontrer chaque fois que je suis venu aux Antiquaires vous demander. J&#039;aurais d&#039;autant plus désiré pouvoir causer avec vous que depuis un temps insensé, [manque] êtes d&#039;un mutisme à rendre jalouses les carpes de fontainebleau.&#160;: Quand je suis allé à Poitiers au mois d&#039;octobre, quelques jours après votre départ, j&#039;avais apporté pour vs l&#039;offrir un exemplaire de mes Recherches. Vous parti sans laisser d&#039;adresse, j&#039;ai rapporté le dit tome. Comme j&#039;ignorais absolument (tout [autant&#160;?] d&#039;ailleurs que le lieutenant) votre retour, je ne l&#039;ai point pris dimanche dernier. Il est toujours a Niort empaqueté, ficelé</p><p>Saut de page</p><p>Si vs n&#039;avez pas occasion de [manque] même ou de le faire prendre, je vs le mettrai au chemin de fer un de ces jours. Bien cordialement vôtre Jos.Berthelé</p>