[Lettre de Blumereau à De La Croix du 21 janvier 1889]

<p><strong>Transcription</strong></p><p>Me BLUMEREAU, NOTAIRE</p><p>A ROM (Deux-Sèvres)</p><p>Rom, le 21 janvier 1889</p><p>Mon Révérend Père,</p><p>J&#039;arrive d&#039;une course qui me laisse juste le temps de vous expédier à la hâte les bibelots que vous me demandez.</p><p>Cela constitue 7 colis&#160;; j&#039;espère que vous les recevrez à temps car ils partiront ce soir de Couhé.</p><p>C&#039;est à regret que je vous envoie cela, parce que j&#039;avais toujours espéré que le besoin que vous en auriez vous aurait décidé à venir plus vite nous voir. Si vous tardez trop, il ne restera plus vestige de mes pauvres fouilles.</p><p>Saut de page</p><p>En ficelant vos boites, on en trouve une petite que je ne reconnais pas pour m&#039;appartenir&#160;; comme elle est vide, je ne vous l&#039;adresse pas&#160;; lorsque vous viendrez vous verrez si vous la reconnaissez.</p><p>Veuillez bien agréer, mon Révérend Père, l&#039;expression de notre respectueux et très affectueux dévouement.</p><p>Blumereau</p>