[Lettre de Espérandieu à De La Croix du 01 février 1888]

<p><strong>Transcription</strong></p><p>St Maixent le 1er février 1888 Mon très Révérend Père, Sauf Samedi prochain pendant une bonne partie de la journée, et surtout pendant la soirée, je serai toute cette semaine chez moi. je ne m&#039;absenterai pas non plus de toute la semaine prochaine &amp; je n&#039;ai pas besoin de vous dire combien je suis heureux de l&#039;excellente pensée que vous avez eue de venir me voir. Je vous attends donc avec une réelle impatience, et vous me trouverez à la gare si vous</p><p>Saut de page</p><p>voulez bien avoir l&#039;extrême obligeance de m&#039;envoyer un mot pour me faire connaître l&#039;heure de votre arrivée. Si ce mot me parvenanit assez à temps, je prierais M. Berthelé de se joindre à moi. A bientôt donc, mon très Révérend Père, et d&#039;avance, merci. Bien cordialement à vous. Espérandieu P. S. Je n&#039;ai pas dit, car cela m&#039;a paru</p><p>Saut de page</p><p>inutile, que je comptais avoir au moins une bonne journée et non pour quelques heures entre deux trains. Ma femme se joint à moi d&#039;ailleurs pour vous prier de faire en sorte qu&#039;il en soit bien ainsi. Quelque pressé que vous puissiez être, j&#039;espère que vous nous accorderez cette faveur.</p>