[Lettre de Laporte-Bisquit à De La Croix du 08 mai 1902]

<p><strong>Transcription</strong></p><p>Jarnac 8 mai 1902</p><p>Certainement, Mon cher Père, votre ami sera le bienvenu à la maison. amenez le. nous aurons grand plaisir à l&#039;accueillir. Mr audiat nous écrivait qu&#039;il avait invité la société d&#039;angoulême à se joindre à la sienne en que le président lui avait répondu quils avaient déjà visité les Bouchauds à la fin de l&#039;Été - comme nous n&#039;avons rien de nouveau à leur montrer, puisque rien n&#039;a été fait encore</p><p>Saut de page</p><p>depuis leur visite, nous avons pensé inutile de les inviter de nouveau en ce moment, préférant avoir moins de monde à la fois, et nous réservant de prier la société d&#039;angoulême à revenir à la fin de la campagne d&#039;été quand nous aurons fait de nouveaux progrès. et [puisque?] c&#039;est sage - à bientôt donc et à vous bien affectueusement</p><p>M. Laporte Bisquit</p>