[Lettre de Laporte-Bisquit à De La Croix du 09 janvier 1903]

<p><strong>Transcription</strong></p><p>Jarnac 9 janvier 1903</p><p>Merci de vos souhaits si aimables, mon cher Père. Nous en avons besoin car nous ne sommes pas brillants. Un peu plus tard, nous comptons aller nous réchauffer au soleil du midi.</p><p>A notre tour, nous vous adressons nos v&#339;ux de nouvel an les plus sincères_ que Dieu vous garde notre magnifique santé et qu&#039;on vous voit souvent aux Bouchauds.</p><p>A ce propose, ma mauvaise mémoire me fait craindre de ne pas vous avoir remboursé encore le montant de vos</p><p>Saut de page</p><p>débours, que je vous prie de vouloir bien me rappeler, car je ne sais plus ou j&#039;avais noté ce chiffre_ Espérons que notre campagne prochaine se montrera plus fructueuse , et que nous ferons enfin quelqu belle trouvaille artistique.</p><p>Avec les respects de nous tous ici, je vous prie Mon cher Père, de vouloir bien agréer l&#039;expression de mes plus dévoués sentiments.</p><p>M. Laporte Bisquit</p>