[Lettre de Lisch à De La Croix du 10 mai 1884]

<p><strong>Transcription</strong></p><p>14, rue de Marignan (Champs-Elysées)</p><p>Paris, 10 mai 84</p><p>Mon cher père,</p><p>Merci de votre aimable lettre je ne suis pas encore tout à fait mort, quoique ayant été assez souffrant. L&#039;équilibre se rétablit et je vais en profiter pour reprendre mes pérégrinations.</p><p>Malheureusement, je ne puis commencer par vous. Je vais d&#039;abord dans le Finistère, puis dans la Côte d&#039;or et enfin en Poitou, ce qui veut dire que je vous arriverai vers le 10 ou 15 juin.<p><p>Saut de page</p><p>J&#039;espère que vous réussirez dans vos négociations pour les intéressantes ruines de Sanxay, mais ici je n&#039;entends plus parler de rien.</p><p>Au revoir, mon cher Père, recevez mes meilleur amitiés, à bientôt j&#039;espère.</p><p>Juste Lisch<p>